Louis-Ulysse Chopard établit une usine de haute horlogerie de précision à Sonvilier, dans le Jura suisse en 1860.
En 1900, les montres Louis-Ulysse portent désormais la mention «L.U. Chopard Genève» en hommage à la ville du savoir-faire horloger.
En 1904, Karl Scheufele créé sa société de production de bracelet et montres bijoux « Eszeha » à Pforzheim en Allemagne.
En 1912, la manufacture se fait connaitre dans l’Europe de l’Est notament en Russie à la cour du tsar Nicolas II.
Louis-Ulysse Chopard décède en 1915, son fils Paul-Louis et son petit fils Paul-André lui succèdent.
Le siège social déménage à Genève en 1920.
En 1930, Karl Scheufele deuxième du nom, tente de faire connaitre les produits de la société de son père à travers le monde. La production de Chopard est alors assurée par 150 salariés.
En 1937, l’atelier Chopard quitte Sonvilier et se situe maintenant à Genève.
En 1963, la famille Chopard décident de revendre l’entreprise à Karl Scheufele troisième du nom, cependant Paul-André ne quittera pas son poste jusqu’à sa mort en 1968.
En 1968, le siège social déménage à Meyrin.
En 1969, Chopard connaît une renaissance, et le succès suit rapidement. Karl Scheufele développe une série de montres inspirées par les racines Eszeha de l’Art Nouveau et Art Déco et portant des noms évocateurs tels que Belle Époque ou Paradiso.
En 1972, la marque présente son modèle féminin « Jeans » avec un bracelet en denim.
En 1976, Chopard libère les diamants de leur emprise traditionnelle et leur permet de se déplacer librement, dans la montre « Happy Diamonds » à travers ses deux glaces en saphir transparent, qui sera récompensée de la Rose d’Or de Baden-Baden ainsi qu’un « Diamond International Award ». Toujours cette année la manufacture s’inspire du concorde pour fabriquer le modèle « Concord ».
En 1980, Chopard impressionne les observateurs en présentant une montre sportive en acier élégante, qui convient également à tous types de situations, le modèle « St. Moritz ».
En 1985, Caroline Scheufele la fille de Karl Scheufele, alors âgée de 18 ans, se lance dans le monde du design avec l’élégant et ludique « Happy Diamonds Clown » et présente en 1988, sa première collection de joaillerie « La vie en rose », puis Karl-Friederich crée la collection de montres « Mille Miglia » en l’honneur de la course automobile éponyme.
En 1991, le ténor Espagnol, José Carreras et la famille Scheufele, amis de longue date, établissent la branche suisse de la Fondation Internationale contre la Leucémie. Au profit de la Fondation, la collection de montres « José Carreras » est lancée, les premières éditions limitées qui portent des gravures de diverses prestigieuses maisons d’opéra internationales.
En 1993, la marque inaugure une nouvelle manufacture à Fleurier dans le canton de Neuchâtel en Suisse. Faisant preuve d’originalité le modèle « Happy Sport » pensé par Caroline Scheufele et inspiré d’ « Happy Diamonds », met tout le monde d’accord en osant combiner acier et diamants.
En 1994, la firme introduit la collection « Imperiale », les splendeurs de l’âge impérial sont exprimées à travers des montres sculpturales. Les formes rondes et voluptueuses, en or, diamant, saphir ou améthyste, transmettent un style élégant et contemporain.
En 1996, la manufacture fabrique les calibres automatiques « L.U.C. 1.96 » et « L.U.C. 3.96 » à microrotor et deux barillets, répondant aux critères de qualités requises au Poinçon de Genève.
En 1998, la société devient partenaire officiel du Festival de Cannes et réinvente la palme d’or, puis produit en édition limitée, le modèle « Prince’s Fondation» en forme de tonneau avec des lignes convexes pour le prince de Galles. Le blason du Prince apparaît au sommet du cadran à 12 heures.
Dans la fin des années 90, la marque lance un nouveau modèle : la fameuse « L.U.C. Sport 2000 », avec un calibre L.U.C. 4.96.
En 2000, Chopard conçoit une collection unique inspirée par le chanteur Elton John et dont un pourcentage des recettes est reversée à la Elton John AIDS Fondation, puis présente la montre « L.U.C. Quatro » ainsi que le calibre L.U.C. 1.98.
En 2001, la marque fabrique le mouvement à remontage automatique de calibre 3.97 en forme de tonneau pour la fabrication du modèle « L.U.C. Tonneau », puis invente pour le festival de cannes, le trophée Chopard pour les « révélations » de jeunes talents, ce trophée récompensera Audrey Tautou, Ludivine Sagnier, Hayden Christensen, Gael García Bernal et Marion Cotillard.
En 2002, la société devient chronométreuse officiel du « Grand Prix de Monaco Historique » et introduit la collection du même nom.
En 2004, la firme présente les montres « L.U.C. Qualité Fleurier », « L.U.C. Tech Qualité Fleurier » et « L.U.C. Certification Tourbillon ». La Fondation Qualité Fleurier à Créé la première certification sur des critères à la fois esthétiques et techniques, la conformité est vérifiée par un comité technique indépendant selon un ensemble de règles précises, garantissant une valeur exceptionnelle pour un véritable amateur montre.
En 2006, pour le 10ème anniversaire de la manufacture de Fleurier, la marque introduit la montre à gousset « L.U. CEUM » un nom inspiré du mot latin « lyceum » qui signifie lycée.
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Un commentaire sur “Chopard : indépendance et créativité”
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